Pop’Letter : COP 29, les projets des L3, toujours et encore du sport ainsi que la rencontre avec Meriame Louattani, de quoi avoir passé une bonne semaine !

Pop’Letter : COP 29, les projets des L3, toujours et encore du sport ainsi que la rencontre avec Meriame Louattani, de quoi avoir passé une bonne semaine !

Chers fans de Pop’Up,

La saison 2 d’Arcane est finie, je suis mentalement anéanti. Mais pas d’affolement, le poulpe revient en force avec cette nouvelle newsletter. Au programme, du sport, la COP 29, les événements de nos chers L3 et bien plus encore. Et sans oublier notre coup de coeur avec un film italien à la clé. Mais avant tout, retour sur l’inarrêtable Max Verstappen !

Le 4 à la suite pour Max Verstappen !

Le pilote néerlandais chez Red Bull vient d’être couronné pour la quatrième fois d’affilée champion du monde en Formule 1. Retour sur son sacre sensationnel !

A la suite d’une année folle en Formule 1, le pilote de 27 ans a de nouveau remporté le championnat. Une année qui aura été assez serrée avec Lando Norris et Charles Leclerc qui n’ont cessé de lutter pour accrocher Max tout au long de l’année. C’est finalement à Las Vegas, à deux grands prix avant la fin de la saison, que le pilote de l’écurie autrichienne a été sacré. Une cinquième place aura suffi puisque son seul concurrent direct, Lando Norris devait à minima finir devant lui et avec 3 points d’écart pour espérer jouer le titre. L’objectif était bien clair pour Max puisqu’il n’a pas essayé de contester George Russell et Lewis Hamilton lors de ce GP qui ont fini tranquillement premier et second pour Mercedes ainsi que les deux Ferrari à la troisième et quatrième place.

Il rejoint ainsi Alain Prost et Sebastian Vettel, autre pilote de légende chez Red Bull dans les pilotes qui ont gagné 4 championnats. Le néerlandais continue d’écrire un peu plus son nom dans la légende de la Formule 1. Sous contrat avec Red Bull depuis ses débuts en 2015, le pilote sera de nouveau présent dans la même écurie l’an prochain. Seuls 3 pilotes se tiennent désormais devant Max en termes de championnats gagnés. Tout d’abord l’argentin Juan Manuel Fangio avec 5 titres que le néerlandais aura à cœur d’aller égaler l’an prochain. Et les deux meilleurs pilotes de l’histoire, Lewis Hamilton et Michael Schumacher qui ont tous deux 7 titres de champions du monde.

 

 

Dans la semaine… 

Lundi – 

Envie de s’évader et d’écouter un podcast sur le journalisme rap en France ? Prenez votre casque et branchez-vous juste ici pour le reportage d’Emily et Marie avec la participation de Sandra Gomes et Clément Bouillé !

C’était censé être une blague, mais ça n’a fait rire personne, encore moins votre rédactrice. Son article a tout d’un édito et manque légèrement de neutralité mais en cliquant juste ici, vous aurez tout le récap juste ici de l’histoire des caricatures de Charlie Hebdo sur le procès des viols de Mazan.

Mardi – 

En manque d’idées pour vos sorties ces prochaines semaines ? Juste ici vous retrouverez le planning de tous les évènements à venir des L3 Information-Communication !

Mercredi – 

Immersion dans le “Livret de Famille” de Meriame Louattani. Pour tout découvrir de cette artiste, ses peintures ou ses inspirations, c’est juste ici où à l’Espace 29 jusqu’au 28 novembre !

Jeudi – 

Jeu, Set et Match pour Jannick Sinner. Retour sur ses exploits et performances aux ATP Final de Turin, c’est par ici !

Vendredi – 

Carton plein pour les Reds de Liverpool. Rétrospective sur un début de saison sur les chapeaux de roues pour le club anglais qui, même avec son changement d’entraîneur, sait montrer sa puissance dans tous les championnats. Hop, passement de jambes et toc, c’est par ici.

Samedi –  

Sommet pour le climat : un bilan en demi-teinte pour cette 29ème édition de la COP. Hop c’est pas le moment de traîner des pieds comme tous les grands dirigeants quand il s’agit de climat. Pour tout savoir sur la synthèse mitigée de la COP29, c’est juste là.

Dimanche – 

On a jamais autant attendu un dimanche soir. Un duo de choc qui présente un contenu qui l’est tout autant.  Pour des nouvelles aussi fraîches que le temps dehors, c’est par ici. (Cliquez si vous êtes un chill guy).

 

 

Un coup de nos 3 cœurs

Italie, 1946. Un lit de chambre, un couple qui se réveille. Deux mots : “ Bonjour Ivano”, prononcés par la protagoniste, suivis par une gifle. Et voilà la vie de Delia, mère de trois enfants et femme d’un homme violent. Pendant le film on suit son quotidien : ses différents travaux, l’entretien de la maison, le soin des enfants et la relation compliquée avec sa fille, qui la voit comme une femme faible incapable de se libérer de son oppresseur. Toutefois, l’arrivée d’une lettre mystérieuse donnera un nouvel espoir à la malheureuse protagoniste.

Avec “Il reste encore demain”, sorti en octobre 2023 en Italie et en  mars 2024 en France, Paola Cortellesi, actrice et humoriste italienne, a fait ses débuts comme réalisatrice. Plusieurs éléments font la grandeur de ce film, devenu en Italie le manifeste des revendications des femmes victimes de violence domestique. Avec le choix du noir et blanc, Cortellesi fait un clin d’oeil à l’énorme tradition du cinéma néoréaliste italien des années 50 et inscrit son film dans une continuité entre les atmosphères d’une époque passée et des sujets au centre du débat encore aujourd’hui. Pendant le visionnage, nous sommes totalement plongés dans l’Italie de l’aprèsguerre, un pays divisé par un référendum historique qui approche : le choix entre la monarchie et la république, dont nous avons des indices bien cachés partout dans le film.

En suivant Delia dans les rues de la capitale encore occupée par les Américains, nous faisons la connaissance de personnages plus ou moins agréables, qui sont un échantillon de la société de ce temps: les bourgeois, les gens au marché, les voisins du quartier. Ces derniers connaissent le secret de Delia; son mari la frappe, mais personne ne fait rien dans une époque où cela est considéré comme la norme. La manière dont ce film traite un sujet sensible comme la violence domestique est remarquable. La narration est parfois ironique, trait typique de Cortellesi, mais jamais superficielle ou banale.

De plus, la détermination de Delia nous touche : peu importe si elle ne pourra jamais fuir cette violence, son but est d’empêcher sa fille de faire la même erreur et elle fera tout son possible pour l’atteindre.

Avec son apparente simplicité, son ton ironique et sa fin inattendue, ce film vous captivera. Alors, qu’attendez-vous?

 

 Liam Ray, Théolynne Labat et Federica Mattedi

 

Crédits photo : @f1 – Instagram : Affiche promotionnelle – Allociné

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