Pop’Letter #20 – Retour du printemps, focus présidentiel et économique et victoire sportive, le récapitulatif de la semaine du poulpe !

Pop’Letter #20 – Retour du printemps, focus présidentiel et économique et victoire sportive, le récapitulatif de la semaine du poulpe !

Hello tout le monde !

Cette semaine, bien qu’il soit resté en France, le poulpe a voyagé dans le monde entier à travers ses problématiques internationales. De quoi faire un tour du monde, mais sans subir le décalage horaire. Enfin presque… Car ce week-end a eu lieu le changement d’heure. Heureusement, Pop-up est là pour vous aider à remettre les pendules à l’heure !

Changement d’heure, changement d’hu-mœurs

Si le changement d’heure est en vigueur depuis 1976 en France métropolitaine, il n’est pas pour autant sûr de rester l’une des traditions annuelles de l’hexagone. Effectivement, en 2018, la Commission européenne avait déjà proposé de le supprimer en 2019. Une fois en 2019, cette suppression a été reportée à 2021. Cependant, à cause de la crise pandémique, cette suppression a, à nouveau, été retardée pour une année encore inconnue. Eh oui, c’est la Commission européenne qui se charge de cette affaire, car la France n’est pas l’unique pays à changer d’heure en fonction des saisons ! Depuis 2002, tous les pays membres de l’Union européenne subissent ce changement de manière homogène, afin de faciliter les déplacements et la compréhension.

 

Mais alors, pourquoi changer d’heure ? Sûrement pour la raison qui provoque le plus de changements : l’économie. Effectivement, en France métropolitaine, c’est en 1916 que le premier changement d’heure a eu lieu. Le but était d’économiser des ressources énergétiques, comme par exemple le charbon. En effet, s’il fait jour plus longtemps, on profite plus longtemps de la chaleur extérieure, et la nécessité de lumière à l’intérieur est moindre. Pratique non ? Certainement pas assez, car en 1944, à la Libération, l’heure d’été est abandonnée. Puis, en 1975, à nouveau à des fins économiques, un décret est signé pour réintroduire le changement d’heure en France métropolitaine.

Alors maintenant, on peut se poser une nouvelle question… Pourquoi le supprimer ? Plusieurs critères entrent en jeu. Le gain d’énergie serait désormais mineur par rapport à ce qu’il était auparavant, et cela est sans compter les troubles du sommeil chez les enfants et les personnes âgées, ou le dérèglement des rythmes biologiques. Bref, on l’aura compris, le changement d’heure est un casse-tête, et pas uniquement pour savoir si on gagne ou on perd une heure de sommeil.

Dans la semaine…

Lundi

Si le poulpe n’a que huit tentacules, le XV de France, lui, a su se servir de ses 30 bras pour mener les bleus à la victoire. Alors rendez-vous juste ici pour (re)vivre la victoire de nos rugbymens au top de leur forme !

Mardi

Pour ce mardi, direction Paris pour en apprendre un peu plus sur l’une des candidates aux Élections Présidentielles 2022 : Anne Hidalgo.

Mercredi

C’est le grand drame du moment : l’augmentation du prix de l’essence. Mais pourquoi ? Pop-up est parti en investigation économique, et vous rapporte plein d’explications sur le pourquoi du comment, et ça se passe ici.

Jeudi

C’est presque le week-end, alors le poulpe s’est octroyé une petite pause. Allez, on sait que vous aussi… Cependant, pour ne pas vous manquer trop longtemps, les rattrapages sont toujours disponibles !

Vendredi

Un jour n’était pas assez, et avec le retour du soleil, il est possible que vous ayez croisé le poulpe en train de se dorer la pilule sur la plage une nouvelle fois… Cependant, ce n’est pas pour autant qu’il vous oublie ! On vous laisse avec les rattrapes du jour, histoire que vous ne manquiez rien à l’actu du moment !

Samedi

Ce samedi, direction le salon de la bande-dessinée à Angoulême ! Bon, on a essayé, mais avec huit bras, compliqué d’utiliser les crayons. Alors, on s’est contenté de vous faire un retour sur ce week-end culturel, donc vous pouvez trouver le contenu juste là !

Dimanche

Comme chaque dimanche, le Dico’Pop est à l’honneur ! Entre Mickey, Poutine et un retour dans le temps, autant dire que vous ne serez pas déçu.

Un coup de nos 3 cœurs

Avec le retour des beaux jours, on s’imagine déjà pique-niquer avec les copains, les copines et la famille dans la forêt, à la plage, au parc, bref… Profiter des quelques rayons du soleil à l’extérieur. Et quel est le meilleur ami des sorties en plein air ? Le jeu de cartes, évidemment ! Alors cette semaine, on s’éloigne des jeux de cartes classiques, et on part à la rencontre d’un nouveau jeu, tout aussi amusant.


© MOJIKSHOP

MOJIK est un jeu testé et approuvé par le poulpe. Très simple à comprendre, il convient à tout le monde à tout âge. Le but ? Être le premier à récupérer 3 cartes de la même couleur et une carte noire, parmi les 56 cartes aux différentes couleurs de l’arc-en-ciel. On vous avait prévenu, c’est très facile ! Et en plus d’être facile, il est amusant. Faisant la même taille qu’un jeu de cartes classique, il peut être trimballé partout.

Sa particularité ? MOJIK est un jeu 100 % français. Créé par un Français, et fabriqué en France. Mais cela n’empêche pas le jeu d’être traduit dans 12 langues. Eh oui, un maximum de personnes touchées pour un maximum de fun.

Pourquoi on l’a aimé ? D’abord, car il faut l’avouer, même si le UNO, le kems ou autre jeu de cartes restent amusants, le changement est toujours apprécié. MOJIK est un jeu tout nouveau qui, par sa simplicité, permet à tout le monde de jouer, des plus petits aux plus grands, très rapidement. Et qui dit compréhension rapide, dit amusement rapide ! Les parties passent et ne se ressemblent pas, et on a aimé les différentes stratégies de jeu qui se mettent en place au fur et à mesure.

En bref, MOJIK, c’est un jeu de cartes qui permet de passer un bon moment, en bonne (et même en mauvaise) compagnie. Et c’est tout ce qu’on recherche cette saison.

Pour en savoir un peu plus, ça se passe juste ici : https://www.mojik.shop/

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Marjorie Lenen

Étudiante en information-communication et anglais, j’écris pour le plaisir sur des sujets qui éveillent ma curiosité, même s’il peut me manquer, parfois je l’admets, une certaine objectivité.