Et c’est parti pour un tour !
L’annonce est désormais officielle. Et c’est le président américain lui-même qui a communiqué l’information. Joe Biden a annoncé ce mardi 25 avril être officiellement candidat aux élections présidentielles de 2024 pour une potentielle réélection. Bien que le chef d’État ait 82 ans au moment de l’élection, Joe Biden justifie sa décision par un souci de continuité. Il souhaite « finir le travail » déjà entamé.
« Wuambushu »
C’est le nom de l’opération qu’à lancé le gouvernement français à Mayotte. Vivement critiquée, cette opération consiste à expulser les étrangers en situation irrégulière qui vivent à Mayotte. Pour ce faire, des bidonvilles vont notamment être détruits, mettant ainsi des centaines et des centaines de familles à la rue. Sur le long terme, ce sont au moins 5 000 logements illégaux qui seront détruits et environ 10 000 personnes qui seront expulsées du territoire. L’État justifie cette opération par une volonté de lutter contre la violence qui explose dans à Mayotte.
Pour mener à bien l’opération, environ 500 gendarmes et policiers supplémentaires ont été déployés.
Nouvelle sauce pour Donald Trump
On pensait qu’il se ferait un peu plus discret suite à l’arrestation dont il a fait l’objet le 4 avril dernier pour une affaire d’achat de silence datant de 2016. Hélas, ce n’est pas le cas. Ce mardi 25 avril, un procès civil pour diffamation et agression sexuelle s’est ouvert devant le tribunal de Manhattan, accusant l’ex-chef d’État, Donald Trump. À l’origine de la plainte, une ex-chroniqueuse de presse, E-Jean Caroll. Elle affirme que Donald Trump l’a « tripotée, pelotée et violée » après l’avoir attirée dans une cabine d’essayage d’une grande enseigne New Yorkaise. Les faits seraient datés du milieu des années 90.
l’Afrique du Sud nous a-t-elle feintés ?
Les propos tenus mardi 25 dans une conférence de presse, par le président sud-africain Cyril Ramaphosa, semblaient bien clairs : « Le parti au pouvoir a tranché, estimant prudent que l’Afrique du Sud se retire de la CPI ». Pourtant, lui qui avait déclaré vouloir le retrait de son pays de la CPI quelques heures plus tôt, a évoqué une erreur de communication du parti au pouvoir (l’ANC) concernant le mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine pour crime de guerre en Ukraine. Rappelons que l’Afrique du Sud avait déjà voulu se retirer de la CPI en 2016 après une visite de l’ancien président soudanais Omar Al-Bachir.
Étudiante en information/communication – anglais hormis faire la bringue le jeudi soir et dormir le lendemain, j’aime bien écrire. J’aimerais d’ailleurs en faire mon métier mais j’ai oublié de le mettre sur ma liste au père Noël.